La découverte de carcasses de proies sauvages peut constituer l’un des premiers signes de présence de l’espèce sur un territoire. Dans un premier temps, et si les conditions météorologiques le permettent (neige par exemple), on recherchera des traces d’éventuels prédateurs, la présence possibles d’indices biologiques (fèces, poils, urine) à proximité. Ensuite on s’intéressera aux caractéristiques des morsures (localisation, taille, profondeur) ainsi qu’ à la consommation (quantité, localisation, mode).