Ce bilan estival récence 114 Zones de Présence Permanente (ZPP) dont 99 meutes, avec une poursuite du développement territorial de l’espèce. L’augmentation du nombre de territoire de loups sédentarisés, malgré une relative stagnation des effectifs, interpelle quant au fonctionnement démographique de cette population. Plusieurs hypothèses sont actuellement explorées, notamment dans le cadre d’une thèse sur l’impact biologique des prélèvements dérogatoires. Les données du réseau permettent de contribuer à l’étude des phénomènes démographiques; les premiers résultats devraient être publiés en fin d’année 2021. Une récente publication dans le magazine “faune sauvage”, fait le point sur l’avancement de cette étude.
Le prochain suivi hivernal permettra de préciser le devenir de ZPP pour lesquelles nous n’avons pas eu de confirmation de reproduction cet été. Il nous éclairera également sur la situation des secteurs à surveiller sur lesquels la sédentarisation n’est pas encore attestée.
Vous retrouverez l’intégralité de ce bilan ici.